Si la rentrée est bien chargée, je ne pouvais pas manquer de participer à mon premier salon Dugas Club Expert !
Gentiment invité par l’équipe Dugas, j’avais hâte d’en savoir plus. Si j’y suis allé avec peu d’attentes, j’en suis revenu avec un nouveau carnet plein de bons contacts, une liste de belles dégustations (que je vous partage ci-dessous), et une atmosphère globalement détendue dans ce salon à taille humaine, taillé pour les pros.
Sommaire :
- (lien) Présentation de Dugas et du salon
- (lien) Mes coups de coeur, et le repas SoWine
- (lien) Masterclass « Voyage en Amertume » avec Fernet-Branca & Nicolas Josset
NB : le récap en image sur mon insta, à cette adresse : lien.
Dugas, & son salon Club Expert
Dugas est un importateur et distributeur de spiritueux premium. A ma connaissance, plus de 100 marques sont référencées, parmi lesquelles Santa Teresa, Botran, Manutea, Laphroaig, Springbank…
Leur métier consiste à :
- Sélectionner des maisons et distilleries du monde entier (whisky, rhum, tequila, cognac, gin, etc.),
- Importer ces spiritueux en France,
- Les distribuer auprès des cavistes, bars, restaurants, hôtels et réseaux spécialisés,
- Et aussi accompagner les marques dans leur développement (communication, événements, formation).
Le salon Dugas Club Expert est justement leur grand rendez-vous annuel pour mettre en avant ce portefeuille de marques et permettre aux professionnels comme aux passionnés de découvrir leurs nouveautés.
Remerciement particulier à Apolline qui m’a fait rencontrer les équipes sur Lille et continue de m’abreuver de belles références et d’évènements. Ca fait plaisir d’avoir de travailler avec des personnes aussi cool & passionnées.

Le salon a pris place au Carreau du Temple, en plein cœur du 3ᵉ arrondissement de Paris, les 14 et 15 septembre 2025. Un bel espace, bien utilisé, sans trop de monde, on peut respirer, c’est vraiment top.
Traditionnellement réservé aux professionnels du secteur (cavistes, bars, restaurants, journalistes spécialisés), l’événement s’ouvre aussi aux amateurs éclairés et aux curieux désireux d’élargir leur palais et leurs connaissances. N’ayant toujours pas choisi ma case, on dira que je suis un amateur très éclairé 😉.
Coups de coeur
Voici une top-list de ce qui m’a tapé dans l’oeil (ou dans la nez, me direz-vous). Comme toujours, c’est une liste personnelle, basée sur mes gouts, dans des conditions de dégustation de salon, ne la prenez pas pour argent comptant. Mais si vous croisez ces références chez vos cavistes, n’hésitez pas à essayer de vous faire votre propre avis (pèle-mêle, il n’y a pas d’ordre dans cette liste).
Rhum
Sampan 6 ans ex-cognac 45% : si le petit 3 ans m’avait bien plût, le 6 ans est clairement à mon gout.
Ultra fruité, porté sur l’abricot, des tanins bien appuyés, des notes légères de café. Top ! Globalement j’ai été impressionné par toutes les nouveautés de Sampan, ca bosse dur, et ça paye. Le meilleur est surement encore à venir pour la distillerie d’Indochine (Vietnam). Interview complète disponible ici pour les curieux : lien.
Sampan 55,5% BDF ex-cognac : vanille, pommes, amandes.. des notes pâtissières à souhait, une belle puissance aromatique, des fruits, et un petit retour gras qui m’a fait penser à un chocolat blanc.



Manutea Blanc 55% Bio : fleurs, fruits blancs, vanille, petit grain.. un vrai coup de coeur ! Clairement une bouteille que je pense acquérir d’ici noël 🎄.
Saint-Bénévolence 18-22 mois : ce Clarin « technique st michel » (90% pur jus, 10% sirop), au caractère bien trempé a été passé 18 à 22 mois dans un fût de chêne neuf, le vieillissement s’est effectué en Floride (un choix stratégique vu les tensions extrêmes sur l’ile). J’ai beaucoup aimé ces notes oscillant entre les vieux bois, les tanins très présents, un petit côté navy, et une grosse touche de vanille. Une belle sucrosité en bouche. C’est déjà très puissant sur le bois, ça ne plaira pas à tout le monde, moi j’ai aimé ce côté un peu extrême.


Santa Teresa « Chuao Cacao » edition, 43% : Le jus du 1753 passe dans des fûts ayant contenu un cold brew de cacao fait à partir de fèves de cacao de Chuao locales. Si certains l’ont peut être trouvé trop choco, cette nouveauté ma vraiment marqué. Le chocolat sélectionné est superbe, on dirait vraiment qu’on l’a laissé fondre sur la langue, l’alcool est imperceptible.. En complément d’un bon dessert, ou une petite goutte dans le café du matin.. Je me laisserai bien tenter. Et en plus, moins de 3 grammes de sucre par bouteille, belle perf !
Santa Teresa Bicentenario : c’est possible que j’ai réussi à trouver 1 précieux centilitre de cette super carafe.. Que dire ? Cet assemblage réunissant les crus les plus anciens et les plus rares de la marque, aurait mérité une dégustation plus posée, car c’est un jus complexe. Cacao, dattes séchées, tabac, fraicheur herbacée, au milieu de notes de moka, de noisettes torréfiées, et une finale qui dure sur les épices & le clou de girofle. Un verre partagé avec l’ami Felix, qui a également pris sa petite claque 😉
Grand merci à notre généreux donateur – qui se reconnaitra.
Whisky



Cadenhead’s – Ledaig 14 ans – 46% : tourbe plus douce que je le pensais, des notes salines (qui me plaisent souvent dans le whisky, mais pas du tout dans le rhum d’ailleurs), pas mal de fruits secs et de banane. Très plaisant, assez équilibré, et pourtant atypique.
Kilkerran Small Batch #11, Heavily Peated, 57.9% : un vrai petit feu de cheminée semble se dégager du verre, mais en bouche de belle notes d’agrumes amènent une certaine fraicheur, la finale légère épicée.. encore un grand cru j’ai envie de dire, pour le prix… imbattable ? NB : le batch 12 moins fruité mais très sympa aussi.
Rozelieures 10 ans : à l’image du tourbé, mais plus vieux. Des fûts de bourbons et de cognac il me semble, qui ajoutent une belle gourmandise, du miel, des fruits secs, à une tourbe fine & équilibrée. Très agréable.
Beaucoup de nouveautés se sont enchainées chez Rozelieures et j’en ai un peu perdu mes notes, je vous encourage vivement à y prêter une attention particulière sur les prochains salons.
Autres
Armagnac – Gelas 21 ans 40% : forcément je reviens de vacances dans le Gers, donc j’étais content de prendre mon petit armagnac ! Gelas semble bien positionné en terme de prix, et propose désormais du rhum et d’autres créations intéressantes. Ce 21 ans bien toasté, mielleux, aux notes de fruits secs et de rancio était très sympathique ! Baco et Ugni Blanc pour 60€, une bonne pioche à priori.
Noble Coyote « Espadin-Tobala » 45% : entre olive légère, texture onctueuse, notes fruitées (fruits blancs). Un côté lacté qui me plait toujours dans ces boissons mexicaines, et en fond un petit carré de chocolat blanc.. Ce mezcal a eu raison de moi sans trop de soucis !
Quelques références notables dégustées, sans coup de coeur, mais avec un intérêt :
Rozelieures Tripack Parcellaire : une belle idée du terroir à portée de cette distillerie, avec 3 petites bouteilles de 20cl qui permettent de voyager entre 3 parcelles (Blanches Terres, La Sous-Dicque et Rouge Côte).
Une super idée cadeau pour noel ?! Trop fan de ces petits formats.
Rozelieures 18 ans French Wine Cask : le plus ancien whisky de la collection. Ce single malt légèrement tourbé vieilli 18 ans en fûts de vins français, dévoile une belle aromatique. Relativement corsé, complexe, il marie des notes de cacao, fruits secs et épices douces, avec une finale longue, mais un peu trop vineuse à mon gout peut-être.
Manutea XO 45 % : En fermant les yeux j’aurai pu penser à un Fiji. Vieux bois, tanins, notes de pamplemousse, de pépin de raisin, mais avec un retour bien gourmand, caramel au beurre salé. Une très bonne impression à re-confirmer très vite.



Botran Infinito : un mélange de rhums âgés de 12 à 25 ans, issus de miel de canne. Un vieillissement dans huit types de fûts distincts pour une belle complexité. A la clé, sirop d’érable, chocolat, cerise, une texture riche mais pas lourde. Très cool, 2eme fois que je le goutais, j’en pense toujours du bien.
Pusser’s 15 ans 40% : un léger regret le voltage, mais ce Pusser réunit toutes les notes typiques de pruneaux, réglisse, caramel sur boisé bien fondu, c’est terriblement facile à boire.
Stauning KAOS – Rum Cask 54,4% : J’aime Stauning, le nouveau packaging est très beau, mais cette « ancienne » édition ayant subit un affinage de 18 mois dans trois types de fûts de rhum : Cuba, Barbade, Fidji était assez unique. A mi-chemin entre whisky et rhum, un bel équilibre, entre céréales, fruits exotiques, épices, et boisé.
Tequila Corralejo Reposado 40% : une très vieille marque de Tequila qui produit désormais de beaux volumes en à l’aide de colonne, mais également avec un passage en alambic charentais (unique dans le milieu ?). Les notes d’agaves cuits sont bien préservées, de belles notes vertes, une touche de menthe, très plaisant. Merci à Felipe pour la transparence des infos, les photos, et toutes les explications !
English Harbour : de passage pour saluer l’ami Felix, j’ai repris plaisir à déguster le Coeur de Savalle (73,6%) qui m’avait tapé dans l’oeil en février dernier à Bruxelles : un alcool quasi imperceptible, une grosse intensité aromatique, le beau gras du caramel beurre salé, de la vanille, des épices, des fruits secs.. tout y est ! Cela étant dit, le reste de la gamme et notamment le 10 ans semblent une bonne porte d’entrée vers le style British.



Santa Teresa – Speyside Cask Finish – 46% : une belle référence qui allie les notes épicées du whisky au rhum, il parait moins rond, plus franc, mais sans tomber dans la lourdeur de certains finish whisky (surtout les tournés, désolé mais ca marche rarement) récents d’autres marques. J’ai bien apprécié.
Santa Teresa – Arabica Coffee Finish – 46% : plébiscité par la plupart des personnes autour du stand, c’est un futur classique à mon sens, comme le dit Adrian c’est même déjà « un banger ». Les notes de grains de café issus du cold brew, les notes végétales, ainsi que l’apport réconfortant d’un bon cappuccino en font un produit très attractif, et pas écœurant du tout. Pas de coup de coeur personnel, mais il me semblait important vous refléter l’avis du public également sur cette référence.
Noble Coyote Mezcal Espadin Jabali : minéral, sous-bois, champignons, gentiane & épices. Très sympa aussi.
Sampan Cognac-Porto 5 ans 45% : pas encore disponible, mais c’est prometteur. Une petite vibe d’armagnac qui m’a bien plût, des notes de prunes, de tabac.
Sampan Cognac-Cerise 5 ans 45% : noyaux & peaux de fruits, légèrement acidité, un petit bonbon acidulé en bouche. Très cool, sans tomber sur la lourdeur d’un arrangé (ouép, j’ai toujours du mal avec les arrangés, désolé les amis, c’est dur dur tout ce sucre).
Ti’Ced : et hop, je vais à l’encontre de mon dernier commentaire… pour vous parler de la nouveauté de Ti Ced, avec cet arrangé Amande, Cerise, Piment d’Espelette. Un bel agricole, la canne est encore présente au milieu des fruits rouges, et le piment rehausse la fin de bouche. Une vraie petite confiture accompagnée d’un fromage de chêvre, super pairing. Dégusté avec l’équipe So Wine lors d’un déjeuner organisé dimanche midi. Grand merci d’ailleurs à Amélie pour l’organisation, un moment privilégié aux côtés de Laurent – je ne cache pas mon plaisir de continuer à apprendre aux côtés de ceux qui m’ont insufflé cette passion. Les prochaines dégustations sont issues de ce déj d’ailleurs.



La Favorite Tjé Kann Ambré 1L & Jardin Créole Ylang-Ylang : si le Tjé Kann accompagne facilement un dessert au chocolat, l’Ylang-Ylang du Jardin Créole reste un peu savonneuse. Sans être dans l’excès, ce n’est pas forcément le type de rhum que je peux consommé, mais l’idée d’un Daiquiri twisté (& testée la veille) est bonne !
Kilkerran Small Batch 12 – 58.4% : assurément le grand gagnant de nos 10 dégustations. Un nez bien tourbé, de la noisette torréfiée, du miel, et des céréales. Si la tourbe embaume fort à l’ouverture, un certain équilibre s’installe petit à petit. En bouche c’est plus explosif, gras, une légère sucrosité calme les 58.5%. La finale est épicée, presque pimentée. Sacré caractère !
Dernières mentions (notes un peu light) : le nouveau whisky Hautefeuille « Le Bout de la Ville » (issu de la parcelle Le Bout de la Ville, élevé dans quatre types de fût différents dont des fûts de Rivesaltes et de Sherry) m’a fait penser à une bonne tarte à l’abricot & aux cerises. La Fabrique des Arrangés N°7 (de mémoire) Thé blanc & passion était également très agréable. Décidément, le thé dans le rhum – comme dans le whisky – je trouve que ça ouvre d’autres arômes très intéressants.
Masterclass « Voyage en Amertume »
avec Fernet-Branca & Nicolas Josset
Si l’amertume est l’une des cinq saveurs fondamentales (avec le sucré, le salé, l’acide et l’umami), c’est aussi l’une des plus décriées, ou incomprises. Un exemple simple, combien de personnes n’aiment pas la bière IPA jugée trop amère ? Sauf qu’on le sait tous, en y allant petit à petit, en apprenant à l’apprécier, on finit par s’y faire… Et bien c’est l’une des leçons de cette Masterclass animée par Nicolas aka « Chiraack« .
Ce goût inné fortement rejeté par le corps (un mécanisme de défense contre les toxines naturelles, surement hérité depuis des millions d’années) est également un goût acquis. C’est à dire, qu’il se travaille par l’expérience, la culture et l’association à des moments agréables et conviviaux.
La morale de cette histoire ? Vous n’aimez pas les amers ? Buvez en plus.
Merde, pas super en phase avec les lois françaises sur la consommation 😎 mais tellement vrai !
(N’oubliez pas que l’alcool se consomme avec modération, tout de même).
Je ne vous refais pas le cours de botaniques complet, ou les maths sur la courbe d’apprentissage du goût brillamment illustrée par Nicolas, mais c’était vraiment technique, et fun à la fois, notamment grâce à l’homme du jour qui connait bien son sujet, et le présente avec un air détendu, et une bonne dose d’humeur. Le genre de personne qu’on veut revoir en masterclass ou de stand qui deviennent incontournable.
Chapeau l’ami, c’était captivant !



Autres point marquant de cette MC : le Vermouth... c’est du vin + de l’absinthe ?
Eh bien oui, d’ailleurs « Wermut » en allemand ça veut dire « absinthe ». C’était l’une des leçons de cette session !
J’avoue que ça m’avait complètement échappé alors que j’en bois pas mal du vermouth.
« Le vermouth suit un processus de production rigoureux : il doit être composé d’au moins 75% de vin, présenter un degré d’alcool minimal de 14,5% vol., et contenir de l’Artemisia Absinthium, qui en sont les éléments caractéristiques […] Parmi les vins sélectionnés, le cépage blanc Trebbiano se distingue par son équilibre parfait lorsqu’il est associé à des plantes aromatiques, offrant une harmonie subtile entre acidité et délicatesse olfactive. »
De plus, la couleur du Vermouth vient uniquement du sucre ajouté et de colorant, le cépage ne joue quasi pas sur la couleur… Le saviez-vous ?
En résumé, La quantité de sucre détermine le style de Vermouth.
- Extra Dry : moins de 30 g/L de sucre.
- Dry : 30 à 50 g/L de sucre.
- Sweet : supérieur à 130 g/L.
Le sucre adouci l’amertume des plantes (dont l’absinthe) et participe à l’équilibre. Historiquement, la couleur venait du sucre caramélisé : pour obtenir un vermouth rouge/brun, on ajoutait du caramel cuit (qui est à la fois colorant et légèrement aromatique). Les vermouths rouges doivent leur couleur surtout au caramel (E150) car le vin de base seul ne donnerait pas une teinte aussi foncée.
Dégustations
Borghetti : la liqueur de café italien qui fait la différence. Ni aromatisée, ni infusée, très forte en caféine… c’est bien le café qui prime, et l’alcool est ajouté dans un 2nd temps. Au niveau du goût, clairement le gros café italien (normal, il y a du vrai café, un blend Arabica et Robusta signature), puissant, des notes chocolatées également, et une texture pas si loin d’un sirop.
J’avais pu l’essayer en Expresso Martini, en effet, ca marche fort !
Antica Formula (16.5%) : le trésor du grand père. Monsieur Carpano n’a pas fait qu’inventer le concept d’apéritive, il a aussi créé l’un des vermouth les plus prestigieux de son époque, en suivant la recette de son grand-père, retrouvée au fond du tiroir de son bureau.
Ici, vanille, safran, dattes, raisins secs, orange sanguine s’entremêlent sur un fond d’absinthe fraiche et intense. Une experience intéressante, un peu sucrée pour moi, mais qui impressionne, et marque bien en cocktail.



Punt e Mes (16%) : le rituel d’un boursier à Turin devenu une création originale. Un point de vermouth, et 1/2 d’amer, en piémontais « Punt e Mes ». Un nez floral, épicé (cannelle, girofle), en bouche une grosse astringence, une amertume prononcée, mais rien de « trop » choquant pour ma part, étant habitué des Negroni et autres cocktails du genre – et aussi vu nombreux mes voyages en Italie, je suis immunisé.. ou presque ! Parce que le Fernet-Branca, ça tabasse bien quand même.
NB : fortement conseillé en long drink avec un tonic. A tester très vite !
Fernet-Branca (39%) : l’amaro par excellence ? Un amaro est une liqueur italienne à base de plantes, sa teneur en alcool est comprise entre 16% et 40 %. Le Fernet-Branca possède une base d’eau de vie de raisin dans laquelle sont ajoutés herbes, racines, fleurs et épices (plus de 27 ingrédients).
Autant vous dire que là, ça déménage. Notes médicinales marquées, plantes, menthol (on aime ça), camphre, poivre & camomille me sont fortement restées sur le palais, et l’eau n’a pas pu les déloger avant un bon moment.
Idée cocktail : comme en argentine (pays qui consomme tellement de Fernet-Branca qu’il a fallut leur créer une usine dédiée sur place), laissez-vous tenter par un Fernet-Cola ou… un Fernet-Maté. J’ai immédiatement pensé au maté en buvant Fernet, et notre ambassadeur m’a dit que c’était tous les deux des composants de certains de ses cocktails les plus réussis… Affaire à suivre, ça me tente bien d’essayer ça à la maison.
Dugas, c’est fini ! Un salon à taille humaine, de belles marques, une grande leçon sur les amers avec Chiraack, un super pairing & repas avec l’équipe SoWine.. Rien à redire, je compte bien revenir l’année prochaine pour faire le tour des marques (de whisky notamment) qu’il me manque dans mon picolodex (Laphroaig par exemple). Remerciement particulier à Apolline sans qui j’aurai surement raté ce rdv !
De belles découvertes au Salon Dugas, du rhum, du whisky, des masterclass hautes en couleur,
THE JACK DROP – LE BLOG QUI PARLE DE RHUM, AGAVES & AUTRES SPIRITUEUX – BASÉ À LILLE
et un public très « expert » qui était au rendez-vous.